Le lac de Besmeleac est un lac artificiel situé dans le département français des Côtes d'Armor (22), sur le territoire des communes d'Allineuc, de Merléac et de Saint-Martin-des-Prés.

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 Le barrage de Bosméléac fut construit entre 1830 et 1842 dans la haute vallée de l'Oust et était destiné à alimenter le canal de Nantes à Brest, plus exactement le bief de partage entre l'Oust et le Blavet lors des basses eaux estivales et à réguler le cours de la rivière.

D'une superficie de 72 hectares, la retenue, sise sur le territoire des communes du Bodéo, d'Allineuc, de Merléac et de Saint-Martin-des-Prés, offre un plan d'eau sinueux long de quatre kilomètres aujourd'hui utilisé pour la pêche et les loisirs nautiques.

 [Wikipedia]

Cette recette un poissonnier breton pour des filets de soles, mais elle s'adapte aussi avec du merlan ou autres petits filets.

Facile

Préparation : 15 mn
Cuisson : 40 mn
Temps total : 55 mn

Pour 4 personnes :

•     3 à 4 filets de sole tropicale par personne
•     2 oignons
•     50 cl de crème fraîche épaisse
•     gruyère râpé
•     sel, poivre

Préparation :

1. Éplucher les oignons et coupez-les en rondelles.
2. Faites blondir dans une poêle avec un peu d'huile.
3. Mettre les oignons revenus dans un plat à gratin.
4. Placer les filets de poisson sur ce lit d'oignons.
5. Saler légèrement et poivrez selon votre goût.
6. Recouvrer d'une couche de crème fraîche.
7. Puis, pour finir, parsemer le gruyère râpé.
8. Metter au four à 250°C (thermostat 8) pendant 30 à 40 minutes.

Pour finir... Pour une recette plus légère, vous pouvez prendre de la crème semi-épaisse, mais évitez la crème liquide légère qui rendra trop de jus.

Leur superbe mais unique album

Matmatah est un jeune groupe brestois dont le nom évoque le village tunisien où à été tourné le premier épisode de la Guerre des Etoiles. Mais point de musique tunisienne, le groupe lui même traite sa musique de "Rock ethno-celtique".

Il s'agit d'un mélange de musique traditionnelle, de rock et de différentes musiques du monde et plus particulièrement orientales, mais aussi de paroles, presque exclusivement en français, délirantes, mais abordant des sujets d'actualité. Les 30.000 exemplaires de leur premier single sont déjà écoulés et un album de 13 titres, enregistré en Angleterre début mars 1997, vient de sortir : "La Ouache". Le groupe a signé en mai chez Tréma pour 3 albums. A Suivre ...

Tout le monde connaît désormais le titre Emma mais aussi certainement Lambé An Dro qui fait allusion au quartier de Brest Lambézellec.

Quant aux concerts, ils sont du même acabit que l'album, c'est à dire très dynamiques et entaînants. N'hésitez pas à aller les applaudir et à chanter en même temps qu'eux surtout que les voir en concert vaut réellement le coup! Personnellement, mon meilleur souvenir c'est leur interprétation des "Cités d'Or" sur scène !! L'extase :)

Alors que leur album a dépassé les 600 000 exemplaires, on regrette de ne plus les entendre aussi souvent sur les ondes hertziennes.

Le château fort de la Hunaudaye a été construit vers 1220 par olivier Tournemine. A cette époque, ce château protégeait la frontière Est du Penthièvre pays de Lamballe en conflit avec le Poudouvre région de Dinan.

Le château est détruit en 1341 lors de la Guerre de Succession de Bretagne. Cette guerre civile en Bretagne ravage le duché pendant une vingtaine d’années. A la fin du 14è siècle, Pierre Tournemine commence la reconstruction du château en tenant compte des innovations militaires. Les trois grosses tours datent de cette époque comme les logis.

A la fin du 15è siècle, la famille Tournemine devient puissante en Bretagne. Elle reçoit en 1487 le titre de baron de la Hunaudaye. La seigneurie s’entend au 16è siècle sur plus de 80 paroisses. Il faut y ajouter les nombreuses autres terres, seigneuries et châteaux dans le Trégor et aux alentours de Nantes.
    
De la Renaissance à la Révolution française

L’âge d’or de la Hunaudaye coïncide avec la disparition des Tournemine au début du 17è siècle. L’escalier Renaissance du logis Ouest est alors la dernière construction réalisée pour mettre le château au goût du jour.

Le déclin est pourtant amorcé. Le château est de moins en moins entretenu. Les terres et les seigneuries sont peu à peu vendues.

Durant la Révolution française, le château est pillé et incendié. Au 19è siècle, il est utilisé comme carrière de pierre.

De nombreux bâtiments disparaissent. La partie Nord du château s’écroule en 1922. L’Etat décide alors en urgence le classement puis le rachète en 1930.
 

Le château de la Hunaudaye est un bel exemple d’architecture du Moyen Age en Bretagne. 

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Le lac de Guerlédan est un lac artificiel situé à cheval sur la commune de Saint-Aignan dans le Morbihan et la commune de Mûr-de-Bretagne dans les Côtes-d'Armor. Sa formation est due à la construction du barrage de Guerlédan en 1930 sur le cours d'eau du Blavet.

Il matérialise, en partie, la limite entre le Morbihan et les Côtes-d'Armor.

Son nom vient du breton vannetais : Gouer ledan, soit : le ruisselet large.

D'une superficie de 400 ha, long de 12 km et profond de 40 m au pied du barrage, le lac de Guerlédan est le plus grand lac artificiel de Bretagne.

Ce lac a été créé pour alimenter le barrage de Guerlédan. Le chantier dura sept ans de 1923 à 1930 et dut faire face à de nombreuses difficultés d'ordre géologique, technique et financier.

La création de ce lac et surtout celle du barrage a coupé la continuité du trafic fluvial sur le canal de Nantes à Brest qui emprunte, à cet endroit, le cours du Blavet. 17 écluses du canal furent noyées sous les eaux du lac.

Aujourd'hui le lac de Guerlédan est devenu un lieu touristique. On peut y pratiquer diverses activités nautiques ou bien se promener sur les rives du lac et profiter de jolis points de vue panoramiques, notamment au rond point du lac et à l'anse de Landroannec.

Le lac était asséché tous les dix ans depuis 1951, dévoilant ainsi un paysage étonnant : figée dans les profondeurs, la vallée engloutie ressurgit avec ses maisons, ses jardinets, ses écluses. Aujourd'hui, la technologie permet de s'affranchir de cette vidange.

[Wikipédia]

François (né le 4 décembre 1923 et mort le 19 mai 2012 à Botcol),

Henri (né le 5 octobre 1931)

Yvon (né le 30 septembre 1934),

Ils sont trois frères originaires du village de Botcol, dans la commune de Saint-Nicodème (Côtes-d'Armor) et qui se sont constitués en un groupe de chanteurs traditionnels en 1958, avec l'arrivée des premières sonos. Au départ, ils étaient quatre agriculteurs (Yves est décédé en 1984).

Dès leur enfance, ils apprennent avec leur mère Augustine (?-1976) les airs et les chants qu'ils chantent aujourd'hui.

Elle-même les avait apprises de son père, Guillaume Creff (1852-?). Cette transmission orale s'est faite entre plusieurs générations.

Comme les Sœurs Goadec, ils ont contribué à sortir le kan ha diskan ("chant et contrechant" en français) de l'oubli.

Leur chant le plus célèbre, "Joli coucou", est devenu leur hymne. Avec leur manière de chanter typiquement bretonne et rythmée, ils font danser les bretons sur des gavottes, plinn, fisel...

Après la guerre, la formation de cercles celtiques, qui commençaient à organiser des fest-noz, leur a permis de chanter plus souvent.

Après mai 68 et les disques d'Alan Stivell, ils reçoivent des sollicitations de toute la Bretagne et d'ailleurs, mais n'ont jamais voulu sortir des limites de la Bretagne, qu'ils sillonnent chaque année pour assurer une centaine de représentations (20 000 km par an).

Agriculteurs avant tout, portant chemises à carreaux et casquettes à chaque représentation, les Frères Morvan arpentent les fest-noz, et tracent tous les ans le sillon de charrue qui marque l'inauguration du festival des Vieilles Charrues se tenant à Carhaix-Plouguer (Finistère).

Pour la première fois, en 2009, le premier boys band de l'histoire bretonne a joué sur la grande scène du festival, et cela en compagnie du groupe Les Tambours du Bronx devant 60 000 personnes.

En 2001 ils chantent avec Georges Moustaki et sont félicités par Henri Salvador lors de la conférence de presse et en 2002 ils partagent l'affiche avec Iggy Pop.

En 2003, c'est au festival du bout du monde qu'ils rencontrent Manu Chao.

Pour leurs 35 ans de kan ha diskan en 1993, Franz Wennen leur offre une statue à leur effigie, sculptée dans du granit de Gourin.

Les trois frères fêtent leurs quarante ans de scène en 1985 pendant trois jours à Saint-Nicodème, en présence notamment de Dan ar Braz, où ils reçoivent un cadran solaire en cadeau.

Lors de la 20e édition des Transmusicales à Rennes, François fête ses 75 ans. En septembre 2008, ils fêtent leurs cinquante ans de carrière à Saint-Nicodème avec la présence exceptionnelle du frère aîné François et de Dan Ar Braz, Red Cardell, les frères Fred et Jean-Charles Guichen...

Enracinés dans leur terroir, ils figurent parmi les représentants emblématiques d’une langue et d’une culture populaire bretonne. En 2002 ils sont faits Chevaliers des Arts et des Lettres par le ministre de la culture, récompensant leur rôle dans la transmission du patrimoine oral breton.

YOOMIE

 

Un billet pour les bretons. C’est là la meilleure école où doivent aller les jeunes gens.

Là est le défi de la mer à l’homme, la lutte où les forts deviendront très forts.

En diagonale de la vignette, le bras aux veines saillantes de ce pêcheur faisant corps avec sa corde ne démentira pas la phrase de Michelet, que je suis allé pécher dans La Mer.

Ce billet de 20 francs fut la plus importante des trois coupures populaires éditées sous l’Occupation, après le 5 francs Berger et le 10 francs Mineur.

Son premier alphabet est sorti des presses le 12 février 1942.

Lucien Jonas cette fois-ci transporte son pinceau à Concarneau, dont on distingue au loin le beffroi, à l’entrée de la Ville-Close.

Il met à l’honneur le monde de la pêche avec cet anonyme en suroît rouge et au regard bleu.

Le cartouche est fait d’un agencement subtil de cordages et de filets dans lesquels s’emmêlent, dans les deux coins du bas, un poisson aux allures de corne d’abondance.

En son verso, le billet célèbre le pays bigouden avec ce groupe de bretonnes traditionnelles, une église basse et son calvaire inspirés de ceux, battus par les vents là où finissent les terres, de Tronoën à la pointe de Penmarc’h.

                                    Ankou La Légende Bretonne

 Voici une recette de dessert ultra simple et très bonne aux saveurs de la Bretagne !

Le crumble est un dessert phare, mais nous l’avons revisité avec des palets bretons pour encore plus de gourmandise !

Pour 6 personnes :

Temps de préparation : 10 minutes
Temps de cuisson : 15 minutes
Repos : 2heures

Ingrédients :

•     4 jaunes d’oeufs
•     160 g de sucre
•     160 g de beurre demi-sel
•     280 g de farine
•     1 sachet de levure
•     3 sachets de sucre vanillé

Ustensiles et cuisson :

•     Un saladier
•     Un batteur
•     Un four
•     Petits moules circulaires

Préparation :

1. Commencez par sortir le beurre une demi-heure avant de façon à ce qu’il soit assez mou.
2. Travaillez-le en pommade.
   Puis, mélangez les jaunes d’oeufs et le sucre à l’aide d’un batteur.
3. Vous pouvez maintenant rajouter le beurre, la levure et la farine
4. Avec votre pâte, formez un boudin et enveloppez-le dans du film alimentaire. Mettez votre préparation au réfrigirateur pendant 2 heures.
   Préchauffez le four à 170°C (thermostat 5-6).
5. Découpez vos sablés bretons à la taille qui vous conviendra et déposez les dans des moules à tartelettes.
   Faites-les cuire pendant 15 minutes.
6. Attendez qu’ils refroidissent ou dégustez-les tièdes !

Astuce du chef :

Pour évitez que vos biscuits ne s’étalent, nous vous conseillons d’utiliser des moules individuels en forme de cercle ou des moules à muffins. 

Vous pouvez également parfumer votre pâte de cannelle, gouttes d’extrait de vanille ou encore les tartiner de caramel au beurre salé !

Une idée gouter pour ravir vos invités, à accompagner d’un café ou d’une bolée de cidre breton !

 On la connaît aussi sous le nom de Mère Saint-Louis, fondatrice des sœurs de la Charité de saint Louis. Mme Molé a marqué le Morbihan de son empreinte au XIXe siècle, Vannes et Auray notamment. Son ordre s’est d’abord implanté au chef-lieu du diocèse, au couvent du Père Éternel avant de rayonner sur trois continents. La fondatrice, née à Paris en 1763, avait été faite Vénérable. Lundi, le pape a autorisé sa prochaine béatification.

Arrivée à Vannes au tout début du XIXe siècle.

Mme Molé est arrivée à Vannes au tout début du XIXe sur sollicitation de l’évêque. Elle s’installe, en 1803, dans la maison du Père Éternel, ancien couvent ouvrant sur le port de Vannes, rive droite. L’évêque confie à celle qui deviendra mère Saint-Louis, l’éducation des fillettes pauvres. La communauté ouvre des écoles gratuites à leur intention, puis un internat. Les vocations se multiplient. Il faut agrandir les locaux pour faire face aux demandes.

Une seconde maison de charité à Auray.

En 1808, mère Saint-Louis fonde à Auray une seconde maison de charité dans l’ancien couvent des Cordelières. Elle travaille en étroite collaboration avec le curé Deshayes. En 1824, l’ancien monastère en ruines de Saint-Gildas-de-Rhuys est acheté pour y faire renaître la vie religieuse. Une école gratuite est aussi ouverte pour les enfants du pays.

Morte en 1825 à Vannes.

Mais son état de santé se détériore rapidement. Mère Saint-Louis meurt en 1825 à Vannes. Toute la ville lui rend hommage. Elle repose à Vannes dans la chapelle de la communauté qui se trouve près de la Maison du Père Éternel, toujours siège de la congrégation.

                              Ouest-France / Bretagne / Vannes

Quimper (Kemper en Breton) est une ville française, située dans le département du Finistère et la région de Bretagne.

La ville de Quimper est la préfecture du département du Finistère. Ses habitants sont appelés les Quimpérois et les Quimpéroises.
La commune s'étend sur 84,5 km² et compte 63 387 habitants depuis le dernier recensement de la population.

Avec une densité de 750,6 habitants par km², Quimper a connu une hausse de 3,6% de sa population par rapport à 1999.
Entourée par les communes de Pluguffan, Ergué-Gabéric et Saint-Évarzec, Quimper est située à 52 km au Sud-Est de Brest.
Située à 5 mètres d'altitude, Le fleuve l'odet, la rivière le steïr, la rivière le jet sont les principaux cours d'eau qui traversent la commune de Quimper.
Quimper est une commune du parc naturel régional d'Armorique.

 L'Odet et ses poissons, les mulets que nous voyions à marée basse pour les non Quimpérois, l'Odet varie au gré des marées de l'océan

Le Steir et à droite la place Terre au Duc

 Place St Corentin. la boutique de faïences bretonnes

La Cathédrale depuis la rue Kéréon

La cathédrale St Corentin

Place Laënnec

Place Terre au Duc

 La rue du Guéodet

La rue Kéréon

La préfecture

 Médiathèque Les Ursulines

Ancien théâtre de Cornouaille

STOUT, un nom évocateur pour tous ceux qui ont goûté un jour à la force d'une bonne bière noire Irlandaise, justement appelée Stout...

C'est la même force de caractère que le groupe distille au travers d'un rock celtique festif, la plupart du temps énergique, parfois calme, mais toujours imprégné d'un dynamisme communicatif.

Avec ses nombreux instruments aussi insolites que caractéristiques des musiques traditionnelles celtiques, STOUT propose un mariage des différentes influences du genre avec toute l'énergie d'une section rythmique résolument rock.

Existant depuis ce fameux "an 2000" où le ciel ne nous était finalement pas tombé sur la tête, STOUT est composé aujourd'hui de 8 musiciens plus motivés que jamais..

STOUT s'est forgé une solide expérience de la scène en sillonnant les pubs, salles et festivals du pays sur un rayon toujours plus large.

Une chose est sûre : ils se font plaisir, ça se voit, ça se sent, et on ne peut s'empêcher de les laisser nous embarquer dans la folie de leur musique !

L’exportation de légumes bretons vers l’Angleterre est attestée depuis le XIVe siècle.

Mais la légende fixe à 1828 le départ de l’aventure des « Johnnies ».

Cette année-là, Henri Ollivier, agriculteur de Roscoff, décide de charger ses oignons sur une gabarre pour aller les vendre en Angleterre.

L’oignon rosé de Roscoff, doux et parfumé, séduit les ménagères britanniques : c’est un succès !

Henri Ollivier fera de nombreux émules, et c’est alors toute une économie qui s’organise.

Les oignons sont semés à l'automne puis repiqués dès le début du printemps pour être récoltés en juillet et chargés vers le Royaume Uni, où les agriculteurs vont se faire vendeurs tout au long de l’hiver.

Arrivés en Angleterre, au Pays de Galles ou en Écosse, ils louent un entrepôt ou une grange où ils stockent leurs oignons ; ils y préparent des tresses qu’ils vont vendre au porte-à-porte.

 kemper le confluent entre le passé des vieux quartiers si bien sauvegardés et le futur avec les nouveaux aménagements humains comme le nouveau quartier de la providence.

 Les premières usines de conditionnement de sardines apparaissent
en Bretagne dans les années 1850.

À la fin de ce siècle, les anciennes presses à sardines ont entièrement disparu, en faveur d’une trentaine de conserveries à Concarneau, d’une cinquantaine à Douarnenez et d’autres disséminées le long de la côte sud. Ces usines sont
familièrement appelées « friteries ».

En effet, après un rapide saumurage, les sardines sont éviscérées et étêtées à la main.

Ainsi préparées, elles sont disposées sur des grilles avant d’être plongées dans une grande friture pendant quelques minutes.

Égouttées et séchées, elles sont enfin prêtes à être emboîtées. Les queues et les têtes sont coupées pour être égalisées.

Elles sont ensuite rangées « au blanc » pour que leur ventre soit sur le dessus ou « au bleu » pour que leur dos soit visible la boîte ouverte.

L’huile et les épices sont ensuite ajoutées avant que le soudeur ne referme la boîte. Les boîtes ainsi remplies sont alors chauffées à la vapeur en autoclave pour les stériliser.

L’ensemble de ce travail saisonnier (mis à part la soudure des boîtes) est réalisé à l’usine par des femmes qui viennent de toute la région.

Mêmes les brodeuses viennent chercher à la friterie un complément de revenus.

  Déchargement de sardines

Pêcheurs de Douarnenez (Finistère), vers 1911

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Penmarc'h. 1952. Ramassage du goémon

 Concarneau. 1902. La lessive des pêcheurs

 Douarnenez. Photo prise en 1911

Battage. 1924. Une famille Bretonne bat du sarrasin

 Bannalec. 1900. Fête Bretonne

 Marchandes de sardines. Pouliguen. Loire-atlantique

Cancale. Travail des huitres

Retour de pêche Bréhat. 1906

 Concarneau

Quiberon .retour de pêche à la sardine

Intérieur Breton

Couvée d'eau

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